La célèbre licence Demon Slayer Kimetsu no Yaiba s’invite dans la nouvelle collection UT de chez Uniqlo. Inspirée de l’univers imaginé par Koyoharu Gotoge et mis en images par le studio ufotable, cette collection Uniqlo Demon Slayer de vêtements vise directement les amateurs de shōnen et les passionnés d’animation japonaise.
Collection Uniqlo Demon Slayer : une lame pour les habiller tous
Premier constat : les visuels sont d’une fidélité remarquable à l’anime. Les imprimés évoquent l’intensité de scènes cultes : celles qui ont marqué les spectateurs. Chaque t-shirt capture un moment-clé ou une expression emblématique, comme la planche en violet façon manga rétro, hommage aux débuts papier du titre. À noter également : un modèle bleu représentant Tanjiro en silhouette d’encre de Chine, à l’élégance épurée.
La gamme propose des tailles du XS au 3XL. Vous pouvez incarner Giyu Tomioka sans renier votre silhouette de fan, avec des pièces vendues à 19,90 € chacune. Un tarif accessible pour une franchise de cette envergure, de quoi envisager un look quotidien inspiré de l’anime. À l’approche de la sortie du film Infinity Castle en septembre, le timing est parfait pour renouveler sa garde-robe.
Des visuels au katana bien affûté
Uniqlo ne s’est pas contenté d’un simple logo sur textile. On ressent un vrai respect de l’univers. Le t-shirt blanc avec Tanjiro et Nezuko en pleine course évoque immédiatement l’intensité des combats. Le modèle noir avec Zenitsu, figé dans une pose tendue, semble prêt à déclencher sa technique.
Le style reste sobre, sans effets tape-à-l’œil, ce qui les rend faciles à porter au quotidien, au-delà des événements cosplay. Le fan service est là, mais assumé avec soin, et les pièces sont conçues pour durer.
Et maintenant ? À vos paniers, prêts, tranchez
Ces t-shirts relèvent de la catégorie du merchandising travaillé. Graphismes soignés, coupes simples, prix justes : la collection coche les bonnes cases. Pour les passionnés de l’univers Demon Slayer, c’est une manière élégante et discrète d’exprimer son attachement à l’œuvre, même dans les rayons du quotidien.
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