Un retour en 1990, ça vous tente ? Avec City Hunter, on replonge dans une époque où les pixels faisaient office de muscles et où les animés dictaient la loi des vidéoclubs. L’annonce de la sortie physique du jeu sur PS5 et Switch le 26 mars 2026 (pile pour l’anniversaire de Ryo Saeba, la classe) a de quoi titiller la fibre nostalgique. Surtout que derrière, c’est Red Art Games qui orchestre la distribution, et Clouded Leopard Entertainment qui assure le remaster de ce titre initialement sorti sur PC Engine. Bref, on est loin du simple portage paresseux : le jeu est traduit en plusieurs langues, et cerise sur le gâteau, on retrouve l’iconique Get Wild de TM Network pour conclure les parties comme dans l’anime. Un bref signe de vie en attendant d’éventuels autres jeux vidéo City Hunter bien plus ambitieux ?
Trois éditions physiques pour trois styles de fans de Jeux Vidéo City Hunter
Du côté des versions physiques, le menu est bien garni. L’édition Standard propose simplement le jeu. L’édition Deluxe, limitée à 500 exemplaires par plateforme et vendue exclusivement sur la boutique officielle de Red Art Games, ajoute une sleeve exclusive et un bonus encore tenu secret au moment de la publication de ce papier. Enfin, les plus mordus pourront se tourner vers l’édition Collector, qui inclura, en plus du jeu, des items mystères révélés plus tard. Bref, que vous soyez du genre sobre, légèrement sophistiqué ou carrément collectionneur compulsif, il y a de quoi cocher la bonne case.
Jeux Vidéo City Hunter : un hommage à l’anime original
Inspiré de la première saison de City Hunter, le jeu met en scène Ryo face à une mégacorporation obscure dont les ambitions ne sentent pas franchement la rose. Mais il faut rester lucide : le titre original sur PC Engine était un jeu très moyen, avec un gameplay qui n’avait rien de révolutionnaire. Ne vous attendez donc pas à des miracles avec ce portage. Le but ici est clairement nostalgique, et c’est peut-être ce qui fait tout son charme. Après tout, il existe ces jeux moyens, voire même mauvais, que l’on adore adorer parce qu’ils rappellent une époque, une ambiance, une madeleine de pixels impossible à retrouver ailleurs. Voir renaître jeux vidéo City Hunter en 2026, c’est donc avant tout un voyage sentimental. Et qui c’est, si nous sommes suffisament nombreux pour envoyer un signal sur l’intérêt de la licence, pourquoi ne pas voir revenir Ryo Saeba dans un titre plein d’ambitions ?
Une licence culte sous exploitée
Malgré son aura énorme dans l’univers de l’animation, la licence City Hunter a toujours été étonnamment rare dans le jeu vidéo. Hormis quelques adaptations datées, la série n’a jamais eu droit à un véritable jeu moderne capable de rendre hommage à son atmosphère unique. Imaginez un City Hunter en 2025, entièrement pensé en cel shading, reprenant le style de l’anime avec des scènes d’action spectaculaires, des enquêtes à mener dans un Tokyo nocturne bourré de néons, et des dialogues savoureux entre Ryo et Kaori. Ce serait l’occasion parfaite de donner enfin à cette œuvre culte le traitement qu’elle mérite, en offrant aux joueurs une immersion totale dans l’univers du nettoyeur le plus célèbre de Shinjuku.
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