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Test de Gran Turismo Sport : vous avez les papiers du véhicule ?

Et tout démarre avec un piano, des images en noir et blanc, des vieilles voitures mythiques et ces pilotes qui ont écrit la Légende. Oui, la cinématique d’introduction de Gran Turismo est belle. Oui, c’est une des meilleures choses du jeu. Voici le test de Gran Turismo Sport.

 

Test réalisé sur PS4, à la manette et au casque audio.

Date de Sortie : 18/10/2017

Développeur : Polyphony Digital

 

Test de Gran Turismo Sport : On s’était dit rendez-vous dans 10 ans

 

Course de bon matin

 

Gran Turismo, sorti en 1998, avait à l’époque fait briller les yeux de mon paternel… Aujourd’hui, c’est moi qui prends la relève. C’est toujours une exclu Sony et développée par Kazunori Yamauchi. Alors ? 20 ans plus tard, qu’est-ce que tu deviens ?

Commençons par le commencement : les menus. Ils sont beaux et épurés, les photos genre carte postale en fond font leur petit effet mais finalement, on a plus l’impression d’être dans l’Apple Store de San Francisco que quand dans un garage ou une écurie. On aime ou on aime pas mais personnellement c’est bien dommage. C’est bien trop propre, trop lisse pour nous mettre dans l’ambiance. J’aurais préféré voir de l’huile, des pneus usés et que ça schlingue un peu la sueur pour me sentir dans la peau d’un pilote.

Alors une fois en course, ça casse la bouche ou pas ? Les véhicules sont parfaitement modélisés, comment faire mieux? C’est une lettre d’amour à l’Automobile. Mais quel dommage vraiment que l’on ne puisse pas faire le tour du propriétaire, rentrer dans la voiture, démarrer le moteur etc…(comme c’est le cas dans d’autres jeux).

À noter par ailleurs un écart de qualité conséquent entre l’extérieur, et l’intérieur des véhicules, au rendu beaucoup moins photo-réaliste. Une fois sur la piste, on ne peut qu’apprécier le travail effectué sur la lumière. À l’aube ou pendant un coucher de soleil, c’est du régal pour les yeux et voir son bolide déraper sous un soleil couchant serait presque émouvant. Le travail de lumière se voit aussi sur le circuit, le reflet du soleil est incroyable et on sentirait presque la chaleur du bitume dans notre salon. Malheureusement tout n’est pas parfait et si on s’attarde sur certains éléments du décors, notamment les bas côtés ou certains paysages, c’est franchement limite. Egalement, pour les plus aisés d’entre nous, toutes sortes de réglages sont possibles pour les télés 4K et HDR au lancement du jeu. Idéal pour optimiser au mieux votre matériel.

 

Les conditions de courses

 

Pour finir, les développeurs n’ont toujours pas trouvé le moindre intérêt à intégrer la pluie ou une météo dynamique dans leur jeu. Allô la Terre ??? J’en parlais hier avec mon dentiste Gilbert, la météo a toujours eu un rôle prépondérant dans une course automobile, elle peut tout changer, être à la base de scénarios incroyables, mais non, pas chez Polyphony Digital où il fait toujours beau.

 

 

Test de Gran Turismo Sport : Bonjour c’est Hatem de Carglass

 

Couché de soleil

 

Un impact sur le pare-brise? C’est la fissure assurée ! Oui, mais pas dans GT7 ! Car même 10 ans après, il n’y a toujours pas de dégâts sur les voitures. PAS DE DÉGÂTS SUR LES VOITURES ! Si le plan vigi-pirate n’était pas déclenché je serais déjà dans la rue en train d’hurler cette phrase dans toutes les langues que je connais (3 en fait…). Mais pourquoi tu t’énerves Tonton Stephen ?

– car on est en 2017 (« Merde, quand même ! »)
– car visuellement c’est toujours mieux et on aime voir sa voiture déglinguée
– car lors d’un choc, la voiture rebondit genre auto-tamponneuse
– car on peut se prendre tous les murs du circuit sans déclencher aucun problème mécanique (roue, boite de vitesse, moteur etc)…

Non rien de rien, les voitures sont indestructibles ! C’est d’une part tout sauf réaliste, et d’autre part ça enlève tout le suspense et tout le stress d’une course automobile. On sait pertinemment qu’il ne se passera RIEN, NADA, NICHTS! Je rappelle encore l’intitulé du jeu « The Real Driving Simulator ». Bref !

 

Test de Gran Turismo Sport : Besoin de Vitesse Underground 4

 

Le mode scape

 

S’il y a bien une chose que j’ai toujours regrettée dans les Gran Turismo, c’est l’absence de sensation de vitesse. Sachez que je suis encore mitigé cette année. Alors oui, quand on atteint et dépasse les 225-250 km/h, tout va très vite à l’écran, on est « collé au siège » et ça fait vraiment plaisir ! Malheureusement, ce n’est pas vraiment le cas lorsque l’on est au volant de véhicules de série. La sensation d’être au volant d’un Tracteur John Deer GTS Turbo 2 est vraiment pesante. C’est mou et on s’ennuie à mourir. Pour résumer, l’impression de vitesse se fait vraiment sentir à partir des véhicules du groupe 4.

Graphiquement, je dois avouer que je suis quand même aussi un peu déçu. Oui c’est beau, oui c’est fluide, mais ce n’est pas la claque visuelle de 1998 sur PS1, ni celle de Gran Turismo 3 sorti en 2001 sur PS2. Ajoutez à cela l’absence de météo et des dégâts (encore une fois) et le compte est bon ! Certes cette déception est vraiment subjective, le jeu s’en sort quand même honorablement et je sais pertinemment que nous n’aurons plus de réelle « claque graphique », hormis via la VR. Mais voilà, pour moi GT a toujours été associé à un gros WOOOOOOOW, et ici ce n’est pas le cas. Par ailleurs, évitez de vous fier aux images soit disant « in-game », mais qui bien souvent sortent du mode Photo, qui sublime relativement le jeu.

 

Test de Gran Turismo Sport : Il est chouette ton auto-radio 

 

Rally de Nuit, mais sans les phares

 

Je ne sais pas si j’ai déjà vu ça … Les musiques des menus sont mieux que dans le jeu ! Posée, variée, parfaitement adaptée et voir même pointue (I :Cube – Adore est  un classique made in France), la bande-son des menus est très bonne. Une fois en course, on descend par contre de 10 étages et je vous invite à couper le son dans le menu options. D’une part c’est moins bon et d’autre part le mixage musique/moteur est dégueulasse. Quant aux effets sonores des véhicules, c’est du très haut niveau ! Pour en profiter un minimum, je vous conseille fortement un home-cinéma ou un casque audio.

 

Test de Gran Turismo Sport : Midas Mi-Soumise

 

The Real Driving Simulator, avec un p’tit accent ricain faut avouer que ça claque, mais manette en mains comment on est ? Le jeu a toujours le pot d’échappement entre deux chaises, dont les références Ikéa sont Arcade et Simu. Alors oui, il est tout à fait possible de désactiver toutes les aides et de jouer en boite auto. Le jeu se montrera alors très technique et exigeant. Trop même pour jouer à la manette.

Un kit volant/pédalier est alors indispensable pour maîtriser accélérations et freinages. Le dosage à la manette est compliqué, surtout en courbe, et vous risquez de manger autant de sable que David Hasseloff dans Alerte à Malibu.

En outre, le jeu n’offre aucune récompense supplémentaire aux courageux. Que tu la joues hardcore ou tout en assisté, tu gagneras le même nombre de points. Vraiment dommage pour un jeu qui se dit orienté Simulation, et qui pourrait (devrait?) pousser le joueur à se faire violence pour progresser. De plus, l’absence de « rembobinage » à la Forza peut achever les moins patients. Partir en coui***, pardon,  en tête à queue, dans le dernier virage d’une course de 15 minutes peut s’avérer excessivement énervant, surtout que je le répète, vous ne gagnerez rien de plus…

On en revient donc vite aux basiques et on ré-active les aides, sans le dire aux copains bien évidemment, car au fond, on sait qu’on est un pilote. Il faut l’avouer, avec l’ABS et l’anti-patinage réglés à fond, les indicateurs de vitesse et timing de freinage, on finit bêtement par freiner comme un porc au dernier moment, et on négocie les virages pied au plancher sans craindre quoi que ce soit. Inutile de connaitre le circuit, on est relax, au chaud, comme dans des chaussons type charentaises flambant neufs.

Vos chronos dépendront alors surtout de vos trajectoires. C’est beaucoup plus simple, mais j’ai quand même pris du plaisir, ce qui n’est pas le cas avec d’autres jeux de bagnoles catalogués arcade. Je rappelle pour finir qu’en lançant le jeu pour la première fois, toutes ces aides au pilotage sont activées par défaut.

Cependant, n’allez pas jusqu’à croire que l’on a ici un « Crash Team Racing 2 » déguisé. Le jeu se veut quand même réaliste et vous irez « au tas » à chaque perte de concentration. Comme à chaque épisode, le moteur physique est excellent, chaque véhicule a bien un poids et un châssis différent, cela se sent réellement, et la clef du succès sera, « comme en vrai », dans la répartition des masses avant chaque courbe. On regrettera quand même les passages aux stands totalement WTF : vous pouvez le plus simplement du monde entrer dans les stands à 300km/h (oui oui), hop l’image se coupe et vous voici dans les stands, n’importe quoi ! Et on oublie pas l’absence totale de problèmes mécaniques.

Le jeu propose également quelques circuits sur terre. Je suis ici assez perplexe. Je ne sais pas si les développeurs ont foiré ou si ils voulaient rendre hommage à Sega Rally sur Dreamcast. Pas la moindre adhérence, tout se fait en glisse. On s’amuse à mettre la voiture en travers à chaque courbe mais je m’interroge quand même quant au réalisme de la chose. Clairement, on est très loin d’un Dirt Rally surtout que l’on peut, encore et toujours, gratter des places en percutant la voiture d’en face en plein virage.

 

Test de Gran Turismo Sport : T’as pas une clé de 12 ?

 

Réglages

 

Pour ceux qui aiment le cambouis, ils pourront jouer aux apprentis mécaniciens. Pas de quoi obtenir une mention à son CAP Mécanique mais beaucoup de réglages et d’expérimentations sont possibles. Tous ces réglages ne sont pas indispensables pour gagner… encore une fois le côté simu s’éloigne.

 

Test de Gran Turismo Sport : Passe ton permis d’abord

 

Parlons un peu de chiffres : 19 circuits et 150 voitures, c’est peu, très peu même. On soulignera cependant l’arrivée de Porsche dans les constructeurs. Pour les modes de jeu, c’est du même acabit :

  • mode arcade : du classique de chez classique, courses versus l’IA
  • les fameux permis qui ne semblent pas évoluer depuis 15 ans
  • mode drift : faire les plus gros dérapages sur quelques virages, en solo uniquement
  • mode mission : il s’agit de défis plus ou moins intéressants, renverser des cônes, doubler un maximum de voitures sur le périphérique de Tokyo. Certaines sont plutôt cools, mais la plupart manquent cruellement d’intérêt. Le tout est uniquement jouable en solo.

Et le mode carrière à l’ancienne il est où bébé ? Et bien il n’y en a pas ! j’ai des picotements dans les jambes en écrivant cette phrase : PAS DE MODE CARRIERE dans ce Gran Turismo. Si vous jouez en solo, il faudra vous contenter de ces 4 modes tout pourraves. Je n’ai franchement pas les mots, comment ont il pu supprimer ce mode qui a fait la Légende de la saga ?

Après FIFA, PES, NBA2K, c’est au tour de Gran Turismo de nous décevoir dans son jeu solo. Les développeurs ne parviennent pas (n’ont pas enveie ?) de raviver la flamme du jeu versus l’IA dans lequel aujourd’hui on s’ennuie à mourir. En plus de modes de jeu ultra connus, l’IA est aussi intelligente, réactive et plein ede surprises qu’un fan de TPMP qui sort de boite à 4h du matin. Aucun progrès depuis 10 ans, voir même selon moi une régression. On se fiche du monde.

Avant de passer à la suite, je vous propose une petite vidéo maison, afin de faire le tour ensemble des modes de jeu :

 

pour regarder cette vidéo.

Alors messieurs les développeurs, puisque selon vous le jeu-vidéo en solo doit mourir, vous avez sans doute envoyé la gomme tendre sur le Online ?

 

Test de Gran Turismo Sport : Gentlemen Drivers

 

Mode Online

 

Je ne vais pas tourner autour du pot d’échappement, Gran Turismo Online ça bute ! Et ce pour deux raisons. La première est logique, affronter des joueurs humains est bien plus excitant que d’affronter des lignes de codes.

La seconde est liée au « Fair Play », car en plus d’une note liée à vos performances, vous allez être jugés sur votre comportement en course. Cette note est sans doute la meilleure idée depuis des années. Elle force en effet le joueur à se comporter comme il se doit pendant les courses et ça change tout. On ressent ENFIN la vraie pression d’une course automobile car en plus de se concentrer sur la route, il faudra toujours avoir un œil sur ses concurrents afin de ne pas faire n’importe quoi.

À l’inverse, on peut « faire sa course et suivre ses trajectoires » sans qu’un fou du volant sans scrupule nous percute et nous envoie au tas. Testé et approuvé pendant plusieurs heures, c’est un vrai régal que de s’affronter en ligne, et c’est bien la première fois que je ressens cela m’arrive dans un jeu de course online. Tout est possible, jusqu’au dernier virage et la marge de progression semble infinie, du plaisir en barre ! Vous affronterez des pilotes ayant un niveau de Fair Play similaire, donc si vous faites n’importe quoi, vous roulerez avec d’autres joueurs qui eux aussi ferot n’importe quoi.

Si vous ne souhaitez pas partir dernier, tout commence avec une séance de qualifications qui se termine à une heure fixe, correspondant au début de la course. Après 2-3 minutes de chargement (quand même !), la course démarre enfin. Un tour de chauffe, un départ lancé et c’est parti ! Le choix et l’organisation des courses se gèrent via un calendrier… et c’est là que les pneus commencent à s’user.

 

Test de Gran Turismo Sport : Tu fais quoi le 11 Novembre ?

 

Autrefois, cette question vous était posée par Mamie, qui tenait absolument à vous voir déguster de la dinde et des flageolets, en sirotant une bouteille de rouge qui grattait un peu la gorge mais qui faisait le boulot. Mais aujourd’hui, c’est Gran Turismo Sport qui vous la pose (vous allez bientôt comprendre). Alors que le gameplay proposé est fabuleux, le contenu online est encore une fois honteux. Un Dos Tres ! Un pasito pa’lente Maria, chantait Ricky Martin en 1995. Je vous fais réviser vos classiques car sachez que seules trois courses sont toujours disponibles en ligne. Oui, oui, trois courses.

Pour le reste, comme les championnats, ils ne seront disponibles qu’à des dates précises. Vous devez donc parfois devoir attendre 10-15 jours avant de pouvoir y participer : on marche sur la tête ! Et bien entendu, si le championnat tombe en même temps que la Bar-Mitza du fils à Tonton David, il faudra attendre le prochain ! Comme sur la partie solo, Polyphony Digital joue les gros fainéants avec un contenu online tout simplement honteux et indigne de la Saga. S’y rajoute à cela l’absence totale d’animation autour de la course : pas de podium, pas de discussion possible avec les autres concurrents, pas de ralenti, non, QUEDAL, NADA, NICHTS. Franchement, on a quand même l’impression d’avoir acheté une béta jouable en ligne.

 

Test de Gran Turismo Sport : Un petit mot sur la VR

 

À l’heure où j’écris ces lignes, je n’ai malheureusement pas encore pu le tester. Je vous ferai un rapport dès que possible. En attendant, il faut savoir que tout le jeu n’est pas compatible, ce qui est une nouvelle fois impardonnable, car les concurrents proposent une compatibilité totale. Quoiqu’il en soit, amis lecteurs de Chocobonplan, je compte sur vous pour nous partager vos sensations, c’est toujours intéressant d’avoir plusieurs avis, le ressenti VR étant assez personnel.

 

Test de Gran Turismo Sport : Vous avez les papiers du véhicule ?

 

Telle une arrestation par la gendarmerie à 4h du mat’, ma conclusion sera pleine d’amertume, de regrets et de déception. Laisser totalement de côté le mode carrière solo aurait pu être une bonne chose, si et seulement si le mode Online était à la hauteur. Malheureusement, un contenu aussi faible et ridicule est tout simplement honteux pour une saga de ce calibre. En plus de gâcher un gameplay qui a un potentiel énorme, on se fout littéralement du joueur et ceci n’est pas acceptable, surtout pour un jeu vendu 60 euros en magasin. Un énorme gâchis, qui j’ose l’espérer sera réparé petit à petit à coups de mises à jours du mode Online. En attendant, je vous invite fortement à ne pas craquer de suite pour ce Gran Turismo, mais plutôt de vous orienter sur des développeurs qui eux font le boulot, à savoir Codemasters et l’excellent F1 2017. A bon entendeur !

10
Test de Gran Turismo Sport : vous avez les papiers du véhicule ?
Les plus
  • C'est beau, le matin et le soir
  • Le fair-play online
  • Des bonnes sensations
  • Le mode scape
  • La playlist musicale dans les menus
Les moins
  • Un contenu tout simplement honteux
  • Pas de pluie, pas de météo dynamique
  • Pas de dégâts
  • Mixage musique/moteur en course
  • Aucun bonus si on enlève les aides
  • Aucun problème mécanique
  • Aucun fair-play offline
Graphismes 15
Gameplay 15
Son 14
Durée de vie 5
Rapport qualité/prix 5
Stephen McFlaherty
Stephen McFlaherty
Rédacteur
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« Au niveau des sensations, je n’ai rien ressenti »

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Derniers commentaires

Laisser un commentaire 1 commentaire
Stephen McFlaherty
Niveau 8
Écuyer

ACHTUNG : un mode compétition hors-ligne est attendu pour Décembre, à croire que Sony a vu ma vidéo test du jeu 😀

Je ne vais pas vous mentir je n’attends pas grand chose de ce mode mais bon, il fallait le préciser quand même.

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