Si je vous parle de Secret of Mana et que vous avez eu la chance de l’expérimenter, je devine qu’un doux sourire apparaîtra sur votre visage. En effet, évoquer cet action-RPG novateur, audacieux et mythique fait vibrer l’âme. Trente ans plus tard, une nouvelle itération nous est proposée, intitulée simplement Visions of Mana. Après dix heures de jeu, mon avis est mitigé. Cet héritier ne manque pas de qualités, mais il déçoit sur plusieurs points. C’est un bon et beau action-RPG, généreux en contenu, astucieux dans son système de classes, mais également extrêmement bavard et desservi par un monde semi-ouvert raté. Il est donc difficile de recommander pleinement cette épopée. Test Visions of Mana réalisé à partir d’une version éditeur.
C’est la plus belle fin du monde que j’aie jamais vue !
L’Arbre Mana, source de vie et de tous les ennuis !
Dans Visions of Mana, une atmosphère étrange, voire malsaine, se dégage dès les premières minutes. L’immense et majestueux Arbre Mana a besoin d’offrandes pour continuer à donner vie au monde. Cependant, ces offrandes ne sont pas des corbeilles de fruits ou un jambon fumé. Oh non. Il s’agit de jeunes gens provenant de tous les villages de ce monde féerique. L’ambiance est particulière, du moins pour moi, car visiblement, les offrandes elles-mêmes sont très heureuses d’avoir été choisies. Leurs parents, eux aussi, en sont très fiers, honorés et émus. C’est très déconcertant.
Val, le gardien d’Âme et personnage principal. Sans nuance, il est 100% gentil. Donc assez ennuyeux.
Les personnages n’arrêtent pas de répéter qu’ils ont hâte de remplir leur devoir, c’est-à-dire de donner leur âme à l’Arbre Mana. Pourtant, dans certains dialogues, ils se projettent dans l’avenir et parlent de ce qu’ils aimeraient faire plus tard. Mais enfin ! Cher ami offrande, qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le concept de sacrifice ?
C’est cette petite fée qui décide qui sera sacrifié. Mignon.
Pour accompagner les offrandes, ou plutôt pour escorter les moutons à l’abattoir, un jeune homme leur servira de Gardien d’âme. Ce garde du corps, Val, sera le personnage principal de cette aventure. D’ailleurs, tous les personnages de cette équipée seront jouables, et une simple pression sur le BMD permet de passer de l’un à l’autre. J’y reviendrai plus loin.
Les décors sont magnifiques et variés
Visions of Mana propose une épopée très étrange sur le fond. Son scénario apocalyptique, où l’on découvre que la moindre offrande manquante à l’Arbre Mana provoque la ruine totale de son village, contraste fortement avec son esthétique colorée et bucolique. L’ambiance joyeuse de notre petite équipe fait froid dans le dos : sont-ils à ce point aveugles ? Ce sont les questions que je me suis posées pendant les 10 heures passées à compléter le premier chapitre. Je n’ai pas poursuivi davantage, et je vais vous expliquer pourquoi.
Test Visions of Mana : un action-RPG en dents de scie
Le bestiaire est assez limité et mignon : là, les boules lapins.
Ce qui frappe d’emblée, en mettant de côté ce que j’ai déjà mentionné, c’est la beauté naïve et poétique de Visions of Mana. Dans cet action-RPG en monde semi-ouvert, les environnements sont souvent à couper le souffle et sont accompagnés d’une bande-son à la hauteur. Cependant, l’aspect gentiment désuet de l’aventure déçoit assez rapidement. En dehors des missions principales, les activités annexes sont peu intéressantes. L’exploration est également très décevante : les zones sont assez petites, truffées de murs invisibles, et les points d’intérêt se résument le plus souvent à des coffres contenant des consommables de soin ou de mana.
La zone enneigée laisse bouche bée
Les missions secondaires, quant à elles, sont d’une indigence désespérante. Les PNJ se contentent de nous demander de tuer des créatures à un endroit, de livrer un objet ou d’en récupérer un autre. Ce n’est vraiment pas à la hauteur. Cela ressemble à du remplissage pour le simple fait de remplir. Résultat, j’ai passé 10 heures à faire absolument tout ce qu’il est possible de faire dans le premier chapitre, parmi les neuf que compte Visions of Mana.
Oui, je suis resté quelques instants pour profiter de la vue
Mais le pire, ce qui m’a convaincu d’arrêter après un seul chapitre, ce sont les cut-scenes et dialogues incessants. Visions of Mana est extrêmement bavard. Tout le temps, partout, et souvent sans raison. Cela devient même un gag. Par exemple, après une cinématique, très réussie par ailleurs, je fais à peine dix pas… pour déclencher un autre dialogue entre les offrandes. Il faut vraiment avoir du temps devant soi quand on démarre une session, je vous préviens !
Les offrandes, en grandes discussions, encore et encore
Je précise que les voix sont disponibles en anglais et en japonais. J’ai préféré la version japonaise, qui m’a semblé offrir une meilleure incarnation des personnages, avec plus de nuances et une interprétation plus convaincante de la part des doubleurs.
Test Visions of Mana Gameplay : les combats, c’est la classe !
Les techniques ultimes renforcent le coté très spectaculaire aux combats
Au-delà des interruptions, certains choix de commandes laissent perplexe. Le bouton A sert à sauter, à parler aux PNJ, et à ouvrir les coffres. Devinez quoi ? La moitié du temps, on se retrouve à sauter comme un idiot devant un personnage ou un coffre. C’est assez agaçant, d’autant plus qu’il est impossible de remapper les touches.
Le bouton A sert à sauter ainsi qu’à ouvrir les coffres. Où est le problème ?
Le déblocage de nouvelles classes débloquant de petites cinématiques très… classes
Attention, pour les joueurs patients et peu exigeants quant à la surabondance de dialogues ou à l’intérêt des missions annexes, Visions of Mana offre tout de même une aventure captivante qui peut occuper pendant des heures. Ne serait-ce que grâce à son système de classes, très ingénieux et facile à utiliser. C’est même l’une des grandes réussites de cet opus.
Les reliques magiques changent tout et apportent une richesse dingue au gameplay
Les montures sont évidement très mignonnes
Val et les offrandes récupèrent des reliques magiques au cours de leur périple. En les équipant, chacun débloque une nouvelle classe, unique à chaque personnage. Par exemple, avec la relique du vent, Val devient un guerrier capable de manier une épée à deux mains et d’utiliser des sorts pour enflammer sa lame. Pour un personnage axé sur la magie, la même relique le transforme en sorcier spécialisé dans l’élément vent. Enfin, pour un combattant au corps à corps, cette relique permet de devenir un DPS très rapide en mêlée. Chaque personnage bénéficie ainsi d’un effet de relique spécifique, qui modifie sa classe de base !
Le tout premier boss que votre communauté de l’offrande affrontera
Les techniques ultimes terminent de rendre les combats spectaculaires
Le nombre de classes et de variantes induites est donc immense. De plus, en passant d’une classe à l’autre, chaque personnage conserve toutes les compétences et techniques apprises. Autant dire que les possibilités pour composer notre équipe de combattants sont impressionnantes. Étant donné qu’il est possible de changer de personnage d’une simple pression sur le BMD, les combats deviennent dynamiques et permettent de faire face à toutes les situations. Enfin, le système de raccourcis pour utiliser les sorts est très intuitif. Les combats sont à la fois jouissifs et spectaculaires !
Malgré des graphismes très inspirés, le passage des émotions n’a pas fonctionné sur moi.
Conclusion Test Visions of Mana
Visions of Mana m’a autant impressionné par son système de classes et ses combats qu’il m’a déçu par d’autres aspects. Les dialogues incessants, les cut-scenes répétitives, l’exploration datée, les quêtes secondaires sans intérêt et les personnages caricaturaux ont fini par me décourager. Cependant, pour les joueurs plus patients et moins exigeants, cette aventure en monde semi-ouvert offre une durée de vie conséquente, le tout accompagné de graphismes enchanteurs et d’une bande-son immersive. Avec ses quatre niveaux de difficulté, Visions of Mana peut même constituer une bonne porte d’entrée pour les néophytes du genre. À vous de voir, selon votre vision de l’action-RPG
Je suis exactement de votre avis, j’ai testé d’abord la démo, mais je n’ai pas eu un bon ressenti du jeu, mais je lui laisse une chance quand je vois les tests de certains. Et c’est encore la douche froide, c’est beau, mais creux sans saveur, les quêtes annexes sont inintéressante.
Les personnages sont banals, je n’ai pas eu le coup de cœur pour aucun. Je me suis dit, je vais faire que l’histoire et vite le finir, mais je n’en suis vraiment pas sûre, car je n’aime pas me forcer à finir un jeu. Merci pour le test, je me sens moins seule avec mon avis sur le jeu.
Merci pour votre commentaire^^, pour résumer, Visions of Mana, c’est vraiment un jeu qu’on aurait aimé aimer mais il lui manque trop d’ingrédients pour être véritablement satisfaisant 🙂
Moi aussi je l’attendais et la chute est d’autant plus rude
Oui, c’est effectivement cela, c’est bien dommage d’ailleurs pour cette grande licence qui peine à redevenir un grand rpg. L’enrobage est magnifique, mais pas le contenu alors que j’aime beaucoup Secret of mana qui est mon premier rpg sur super nintendo à l’époque de la sortie du jeu.
Bonjour j’ai pu tester le jeu environ 4h.
Étant fan de secret of Mana depuis mon enfance (j’ai fait tous les opus).
J’ai moyennant accroché a celui-ci.
Il est vrai qu’il y a beaucoup de dialogue mais c’est plus les combats un peu trop brouillon qui m’ont déçu.
Pour le reste l’aventure est sympa sans être non plus exceptionnel.
Je peux parfaitement comprendre que l’avis n’est basé que sur le début du jeu.
Rien que le fait de ne pas pouvoir remapper les boutons et voir son perso sauter sans cesse m’aurait fait lâcher le jeu… U
En tout cas, après avoir lu des tests qui ont mis une note plus élevée et ce test qui explique pourquoi Bibi n’a pas aimé, je sais que je peux potentiellement bien accroché. À condition que l’écriture suive et me convienne également car je déteste la parlote pour la parlote dans les RPG. Les dialogues longs je n’ai rien contre mais ils doivent etre bien écrits et passionnants à suivre.
Si j’arrive à libérer du temps en Septembre / Ocrobre je tenterai l’aventure et je rédigerai un papier rapide dessus (et non un test).
Pour ma part je m’attaquerai au remake des Chevaliers de Baphomet en Septembre et à Plucky Squire.
Donc maintenant, ya même plus besoin de passer le premier chapitre pour faire un article sur un jeu ?
A la fin du premier chapitre on a même pas 30% du gameplay, et on est toujours dans la phase initiale du scénario. Je peux comprendre que de nos jours les gens ne soient plus capables de patienter une dizaine d’heures pour profiter d’un scénario bien amené, mais de la à baser une évaluation dessus, c’est clairement ridicule.
Je n’ai pas joué au jeu mais Bibi qui a fait le test si.
Et je crois qu’il faut accepter le fait qu’une personne puisse ne pas aimer. Surtout que c’est argumenté.
Si j’emmène voir Les Dents de la mer à ma femme qui déteste les films à suspens, elle sortira de la salle au bout de 5 min passé la première scène.
Il est surtout intéressant et important de se pencher sur les raisons qui peuvent faire décrocher.
Tout le monde ne peut pas aimer ce que vous aimez. Simple fait.
Je suis vraiment d’accord avec mon VDD, certes ont peut faire une critique et ne pas aimer, mais une bonne partie de sa critique scénaristique est justement baser sur l’intrigue qui se met en place plus tard dans le jeu. Les offrandes prennent conscience peu à peu de leurs conditions. Bref la critique n’as pas lieu d’être sans en rajouter pour ne pas spoiler.
Ce n’est pas la question…qui ici n’a jamais abandonné en cours de route un jeu, un livre ou un film ?
Bah là c’est pareil. Que l’intrigue décolle et prenne tout son sens plus tard n’a pas à entrer dans l’équation. Le but d’une histoire est d’accrocher. Si on accroche pas, on accroche pas.
Et a titre perso je n’ai pas encore joué au jeu. Si j’accroche j’accrocherai mais je ne reprocherai jamais à quelqu’un de lacher en cours de route s’il n’accroche pas au délire.
La pensée unique pour tout valider parfaitement, ça suffit 30 secondes. Vous avez la chance d’avoir un autre son de cloche sur l’expérience de Bibi.
Au lieu de dire « ça prend sens plus tard » essayez de voir pourquoi certains joueurs peuvent ne pas accrocher au lieu de penser que ce « n’est pas normal ».
C’est ce qui s’appelle l’ouverture d’esprit et la tolérance.
Combien de joueurs dans mon entourage affirment que la saga Mass Effect c’est de la ××××. Ils ont non seulement le droit de le penser mais j’ai compris que l’experience proposée ne leur convenait tout simplement pas.
Alors que Mass Effect est a mes yeux un chef d oeuvre absolu. Jvais pas leur dire allez au bout du 3 vous verrez. Ça ne marche pas comme ça en fait.
Vous dîtes n’importe quoi, je me fiche éperdument qu’il arrête en cours de route, le fait est que quand on ne sait pas de quoi en parle et bien on se tait et on écrit certainement pas une ébauche de approximatif.
Il a joué.
Ça l’a saoulé.
Il n’a pas aimé.
Il dit pourquoi, comment et nuance son propos en spécifiant qu’il ne parle QUE DE LUI et que le public habitué s’y retrouvera.
Et vous dites qu’il n’a pas le droit de dire sa vérité sur ce jeu ?
On appelle cela la pluralité des avis. Et c’est 1000 fois plus intéressant de lire et discuter sur le désaccord que d’attaquer le testeur en disant grossièrement qu’il n’a pas le droit de critiquer car il n’a pas accroché.
On marche sur la tête.
Et bien les 3 première phrase de votre réponse aurait très bien pu résumer de ce qu’il peut réellement nous dire du jeu.
Vous voyez vous auriez dû le faire vous même le test, il aurait ainsi pû être plus sincères et réel.
Le jeu n’est pas parfait ni exempt de défauts mais peu de chose dit dans cet article n’en est la cause. Bref mieux vaut ne pas s’y attarder et en lire un qui est un peu plus sérieux.
Oui. Lire un test sur lequel vous êtes d’accord. C’est passionnant c’est vrai.
La conclusion du test dit pourquoi il n’a pas aimé. J’arrive à comprendre perso.
Visions of Mana m’a autant impressionné par son système de classes et ses combats qu’il m’a déçu par d’autres aspects. Les dialogues incessants, les cut-scenes répétitives, l’exploration datée, les quêtes secondaires sans intérêt et les personnages caricaturaux ont fini par me décourager.
Il doit développer une thèse sur ces points en fait c’est ça ?
Vous êtes un peu dur mais je suis complètement d’accord avec vous, quand on s’arrête qu’au début, on ne devrait même pas en parler.
Cela dit pour beaucoup de gens, c’est trop long comme intro et ils lachent l’affaire. Ce qui doit être le cas de bibi
Sauf qu’il n’a pas lancé le jeu quelques minutes avant d’arrêter.
Ce test est au contraire un témoignage de ce que certaines personnes peuvent ressentir avec l’expérience proposée.
De plus les qualités du jeu sont listées. Et son propos est nuancé en évoquant « je n’ai pas accroché ». Il ne dit à aucun moment « tous les joueurs décrocheront ».
Je n’ai absolument rien contre les gens qui décrochent, et à aucun moment je n’ai parlé de la qualité du jeu. J’ai pas besoin que les gens pensent comme moi.
J’ai juste dit (certes pas de la façon la plus diplomate), que lorsque l’on fait une critique d’une oeuvre, on s’assure de l’avoir vue en entier. Vous n’êtes pas un particulier qui donne son avis a un pote. A priori le but d’un test rendu publique sur un site de JV, c’est d’informer en essayant d’être objectif, pas juste de donner son avis, surtout quand celui-ci est « ça m’a gavé j’ai arrêté ». Au moins vous avez eu l’honnêteté de dire que c’était pas basé sur le jeu complet.
Si je voulais connaitre l’avis de Jean-Michel du bar du coin, je serais allé lire les évaluations Steam 😉
Cela fait des années que l’on poste des tests totalement subjectifs. C’est notre politique éditoriale totalement assumée et rien ne nous oblige à faire différemment. Rien. Et ça n’en fait pas des avis bistros pour autant, loin de là. Il y a du concret dans le test de Bibi, qu’on soit daccord ou non. Non seulement on est honnête et transparent avec nos lecteurs, mais en plus il n’y a aucune publicité éditeur sur notre site…si on faisait ça pour l’argent, on mettrait 16 sur 20 minimum à tous les jeux pour etre tranquille et générer des ventes affiliées.
Bizarrement, quand notre avis subjectif met 18 ou 19 sur 20, aucun souci.
Mais dès que ça a le malheur de ne pas etre dans la moyenne hausse, on est des pestiférés.
Et inutile de voir une oeuvre en entier pour faire une critique au passage. Star Wars 8 je suis sorti de la salle quand Leia revient à la vie dans l’espace. J’ai abandonné je ne sais pas combien de jeux et de bouquins dans ma vie car ils ne me convenaient pas. Idem pour les séries.
Il serait hypocrite d’aller au bout dans l’espoir qu’après 20h ou 30h un truc se passe. Personne ne tient dans ces cas là, c’est faux. Il faut un minim um accrocher pour continuer.
Et l’avis de Bibi illustre cette réalité. Sans hypocrisie. Et en toute honnêteté.
Au temps pour moi, je suis arrivé sur la page via mon fil d’actualité, je n’avais pas compris que votre principe était d’émettre des avis subjectifs sur des jeux que vous avez à moitié testés. Encore une fois, j’ai émis aucun avis sur la qualité du jeu, c’était une critique sur la forme, pas sur le fond.
Bref, comme c’est pas le type d’informations que je cherche, je vais faire en sorte de ne plus mettre mon nez dans votre site. Bonne continuation !
Aucun souci. On va au bout des jeux si l’expérience en vaut la peine et est suffisamment convaincante. Ce qui est le cas 99 % du temps.
Maintenant si vous n’avez pas compris que chaque test était forcément subjectif, content d’avoir pu vous ouvrir les yeux à ce sujet !
On ne publie pas les tests pour attirer le maximum de monde par ailleurs, mais pour livrer des retours honnêtes et sans langue de bois. Langue de bois que vous trouverez sans aucun problème ailleurs vu que c’est la majorité de la presse désormais ^^.
Intéressant ton point de vue.
J’ai fait la démo et j’ai apprécié même si j’ai un peu tiqué également sur certains dialogues dont le ton me semblait contradictoire avec le fond.
serait ce du à des différences culturelles ? Souvenons nous du rapport particulier des japonais avec le groupe, entité supérieure à l’individu. Ex : leur rapport au travail, le côté kamikaze de la seconde guerre mondiale, etc…